À la rencontre de Deniz Koçak

Deniz Koçak est directeur de l’usine d’Erftstadt en Allemagne et compte plus de 170 personnes sous ses ordres.

En tant que directeur d’usine, je prends très à cœur de développer des relations personnelles avec mon équipe. Je préfère parler aux gens dans leur environnement de travail, là où ils sont le plus à l’aise. Je passe donc beaucoup de temps à la rencontre du personnel dans toute l’usine. Si vous souhaitez savoir ce qui se passe dans l’atelier, inutile d’interroger les personnes qui travaillent dans les bureaux.

Avant de rejoindre Refresco, j’ai travaillé dans une entreprise familiale, je suis heureux d’avoir pu passer du temps dans un autre système, avec une approche différente : pour moi, rien de mieux que de voir comment différentes entreprises fonctionnent. Si vous ne faites pas attention, vous pouvez vous retrouver coincé à un poste, je ne pense pas que cela soit propice au développement personnel ou au développement des activités. Le travail d’équipe est très important pour moi : j’ai joué au hockey sur gazon pendant 25 ans en première division allemande, c’est là que j’ai appris les sacrifices que demande la victoire. C’est la contribution de chacun qui fait avancer l’équipe mais chaque joueur a un rôle différent. C’est la même chose ici. Tous les membres de mon équipe ont un rôle à jouer qui est essentiel à notre réussite, le mieux est d’aider chacun à se développer.

"Nous sommes relativement autonomes ici : les gens ont un sens très marqué des responsabilités. Je travaille dur pour encourager cela."

- Deniz Koçak, directeur de l’usine d’Erftstadt

La confiance et la communication sont les composants les plus importants

Le défi est une notion que j’ai rapidement découverte ici et la communication est essentielle. Il y a une pression au quotidien qui me motive vraiment : nous devons prendre des décisions rapidement et chacun connaît ses responsabilités et sait quoi faire. Si ce n’était pas le cas, les employés auraient tendance à attendre que je prenne des décisions, ce qui n’est pas le style de direction que j’apprécie. Je fais confiance aux décisions de mon personnel et je lui accorde l’autonomie nécessaire pour faire son travail.

Ma femme vous dirait que j’ai deux amours : elle et mon travail. J’aime passer du temps au travail. L’environnement que nous avons créé ici regorge de possibilités : je souhaite me développer à d’autres postes et apprendre ce qu’il faut pour cela. Ces apprentissages proviennent parfois de notre programme de leadership et parfois de l’atelier. Si vous êtes prêt à tirer des enseignements de tout, vous irez loin.